La vie de Larbi Ben Barek est d’ombre et de lumière, surnommé la Perle noire, footballeur marocain à la plus longue carrière en Equipe de France (1938 à 1954)
En 2005, au moment de préparer les Rencontres internationales sport et cinéma de Montréal, nous avions constaté qu'il n'existait pas de création visuelle sur ce footballeur fabuleux. Connu des seuls afficionados, il semblait échapper à la mémoire collective.
Je partage ici un texte écrit à partir des seules sources disponibles en 2005 (*Etat des sources 2021, voir en bas) : Internet et la publication à tirage limité par l’Amicale des Anciens Sportifs du Maroc, Salam-Sports, 1994 : Larbi Ben Barek, La légende de la « Perle noire ».
Larbi Ben Barek
La vie de Larbi Ben Barek est d’ombre et de lumière.
Lumineuse et sombre à la fois. Où l’histoire personnelle rejoint la grande Histoire.
Mais, c’est aussi l’histoire d’un oubli. Celui d’un homme qui fut l’idole de son temps.
Sa mémoire s’est dissipée au fil des ans.
Aujourd’hui, rares sont ceux qui se souviennent de lui.
Qui était Larbi Ben Barek ?
« Jamais un footballeur ne fut autant célébré par le public que Larbi Ben Barek. (1)»
Surnommé la Perle Noire, ses talents footballistiques sont célébrés dans la France des années 1940 par les journalistes et par la foule qui vit à travers ses exploits les passions du ballon rond et du sport, miroir socioculturel de l’époque.
« Si moi, je suis le roi du foot, Ben Barek en est le dieu. » Ces mots sont de Pelé lui-même. Acclamé par les plus grands clubs d’Europe, son départ pour l’Atletico de Madrid en 1948 provoque le désespoir en France : « Vendez l’Arc de Triomphe ou la Tour Eiffel, mais ne vendez pas Ben Barek. (2) » s’écrient les journalistes et supporters parisiens.
Ben Barek était ami avec Marcel Cerdan. Ils ont joué ensemble au football, dans la sélection du Maroc. « Il fut sûrement le meilleur de tous. » disait Raymond Kopa et Juste Fontaine affirma qu’ « il restera pour toujours mon idole ».
Pelé, Kopa, Fontaine, Cerdan : des carrières exemplaires couronnées de succès dont la mémoire est toujours célébrée.
Pourquoi le souvenir de Ben Barek est-il quasiment absent du palmarès actuel des grands sportifs du 20e siècle ?
Comment lire l’histoire de Larbi Ben Barek ?
Les témoignages, souvenirs et récits autour de la personne de Larbi Ben Barek sont empreints de contradictions et de non-dits, voire de mystères, qui contribuent à masquer la légende qui s’était créée autour de ce personnage hors du commun.
Deux sources essentielles se présentent : l’éclectique toile du web, accessible à tous, et une publication à tirage limité par l’Amicale des Anciens Sportifs du Maroc, Salam-Sports, en 1994 : Larbi Ben Barek, La légende de la « Perle noire » .
Il s’agit d’un hommage à Larbi, richement documenté, précieuse base de données tant elle abonde en témoignages, interviews et documents relatant sa vie et les souvenirs de sa famille et de ceux qui l’ont connu.
Le portrait présenté sur internet est significatif de la place qu’occupe le nom de Larbi Ben Barek dans notre mémoire collective.
Entre informations erronées et témoignages personnels, on y reçoit le lointain écho d’un footballeur jadis adulé qui semble appartenir à une époque révolue. : le temps avant la télé.
Telle une photo jaunie par le temps l’image de Larbi ne nous parvient plus qu’à travers des archives peu exploités et le récit de ceux qui l’ont connu.
Si à l’international, son souvenir est maintenu à petite flamme, on s’inquiète de la place que le Maroc lui réserve au sein de son patrimoine identitaire officiel.
Pour ajouter au flou, il règne une confusion au sujet de la date de naissance de Larbi qui n’est égalée que par le mystère qui entoure la fin de sa vie et son décès.
De naissance modeste, Larbi aurait été orphelin très jeune, né « entre 1912 et 1919 »…
Au sujet de sa mort, les quelques renseignements proposés sur Internet disent l’innommable : Larbi Ben Barek serait mort dans la misère, oublié des circuits officiels, retrouvé dans sa modeste demeure que plusieurs jours après son décès.
C’est ici que la lecture de la publication de Salam-Sports apporte des pistes de lecture supplémentaires. Sa famille, ses collègues et contemporains y apportent de nombreuses précisions quant à la vie de Larbi Ben Barek et nous réserve le portrait d’un homme de valeur, tant sur le terrain que sur la scène de la vie quotidienne.
Si Ben Barek perd son père à l’âge de quatre ans, il n’est pas orphelin pour autant car sa mère devra vivre centenaire.
Malgré les doutes de celle-ci, la date présumée de sa naissance et celle du 15 juin 1914 et non celle du 16 juin 1917, officiellement admise de longues années durant.
« Les dirigeants voulaient me rajeunir…afin que je joue plus longtemps » disait Larbi lui-même.
Son parcours de footballeur international défraiera les chroniques. « Sa seule présence remplissait les stades. (3) » En 1948, il est désigné meilleur joueur du monde (4), avec 16 sélections en Equipe de France. Se crée alors la légende de la Perle Noire, aujourd’hui quasiment méconnu du grand public.
Car à l’issue de sa carrière de joueur professionnel à l’âge de 41 ans, Larbi retourne au Maroc en 1956 pour s’y consacrer au métier d’entraîneur jusqu’en 1971. Mais, à l’inverse de son immense fortune de footballeur, la chance ne lui sourit pas et il se voit vite oublié des circuits. Larbi en ressentira une grande déception jusqu’à la fin de sa vie.
En 1992, quand la mort le frappe, à la suite d'une brûlure mal soignée de la jambe, il vit dans l’indifférence depuis plusieurs années.
Mais, contrairement à ce qui se lit sur Internet, ses enfants démentissent que son corps ait été retrouvé plusieurs jours (3, 7 ou 10 selon les sources) après sa mort. C’est son fils Mustapha qui dit l’avoir trouvé le matin du 15 septembre alors que son corps était encore chaud.
Une importante foule l’accompagnera jusqu’à sa dernière demeure, au cimentière des Chouadas de Casablanca.
Mais, les hommages annoncés, l’organisation d’un tournoi annuel dédié à Larbi et le projet d’un Musée Feu Ben Barek restent en l’état. Un stade lui est dédiée en 1997, à Casablanca. Mais le stade n’est jamais opérationnel.
Le joueur
La vie de Larbi se lit comme le roman d’un destin tant ensoleillé qu’assombri par les méandres de la vie, intimément liée aux grands flux de l’Histoire elle-même.
Casablanca
Le jeune Larbi est doué pour tous les sports ce qui fait de lui un sportif complet, capable de battre une équipe de quartier avec pour seul équipier un gardien de but. Dans les rues et les placettes de Casablanca, on joue pieds nus avec de simples balles de chiffon et Larbi assiste à l’émergence de ce sport dans son pays.
Il fait ses débuts au sein de l’Idéal Club (1934-1935), modeste club de l’Union Sportive Marocaine (USM), grand club du protectorat et triple vainqueur du championnat d’Afrique du Nord. Dès sa première année chez l’USM, il est sélectionné dans l’équipe du Maroc, qui joue en 1937 à Casablanca contre les onze B de la France. Le Maroc gagne 4 à 2 et Larbi est remarqué comme meilleur joueur sur le terrain attirant l’attention des grands clubs de la métropole.
Terre d’accueil privilégié pour les joueurs de l’autre rive de la Méditerranée, L’Olympique de Marseille, dépêche à Casablanca deux émissaires, l’entraîneur Eisenhoffer et Mario Zatelli (5), lequel connaît bien Ben Barek et l’USM dont il a naguère porté les couleurs. Mais, en ce début d’été 1937, l’USM, conscient de la valeur de son joueur, refuse leur offre.
Lors de sa deuxième année avec l’USM, il remporte son premier championnat du Maroc et joue la finale de la Coupe Steeg (Championnat d’Afrique du Nord des clubs) face aux Algériens de Bône (match perdu 3 à 1). La presse métropolitaine, en s’enthousiasmant devant ses dribbles, son élégante foulée qui déjoue la ligne adverse et ses passes décisifs commence à lui consacrer plusieurs articles élogieux. Devant l’insistance des responsables marseillais, l’USM accepte finalement une offre exceptionnelle du club marseillais (6).
Marseille
C’est par la mer, le 28 juin 1938, qu’il débarque à la Joliette marseillaise. Dès son premier match, il enchante le public marseillais. Une passe décisive au buteur Kohut et deux de ses buts contribuent au 5-2 de l’Olympique de Marseille face au Racing de Paris.
Il s’impose très vite chez le club phocéen par un sens inné du jeu axé sur un remarquable jeu de tête et de jambes. Outre stature, élégance et style, Ben Barek est un attaquant, un passeur et un créateur… des deux pieds ou de la tâte. Véritable idole de Marseille après quelques matchs, il connaît sa première sélection sous le maillot tricolore le 4 décembre 1938 devant l’Italie et tout semble lui promettre un avenir splendide.
Casablanca
Mais l’Histoire en décide autrement.
Après une année remarquable à l’OM, la deuxième Guerre Mondiale va amputer sa carrière. Entre 1939 et 1945, il retourne à l’USM avec qui il remporte 5 titres de champion d’Afrique du Nord. Lors d’une rencontre disputée en 1941, la sélection marocaine arrache le nul face aux Tricolores. A l’aile droite joue Cerdan. Sur passe de ce dernier, Ben Barek marquera le but de l’égalisation.
Paris
Moins de matches et d’écho à l’international, mais plus de brio et de maturité font que les six années de guerre passées, le Stade Français d’Helenio Herrera, célèbre entraineur originaire du Maroc, l’engage pour une prime de transfert d’un million de francs (7), après un match amical au Maroc où Larbi avait subjugué des journalistes admiratifs.
Grâce à sa magie, son élégance et son efficacité, il retrouve l’Equipe de France. Max Urbini, joueur de football, journaliste et chroniqueur sportif, témoigne : « Larbi était le poète du football. Il était plus élégant et plus esthétique que Pelé. »
Madrid
Au bout de trois années parisiennes, l’Atletico de Madrid achète Larbi Ben Barek à prix d’or (8). Son transfert va défrayer les chroniques françaises de longues semaines durant et provoque un grand désespoir chez les supporters parisiens.
Les Madrilènes l’accueillent en triomphe et son style unique va faire sensation au stade Metropolitano. Pourtant habitué au succès, Larbi est stupéfait par l‘enthousiasme qu’il soulève. A un match d’entrainement organisé pour la présentation de Larbi, 50 000 personnes viennent assister au stade. En cinq saison, il remporte deux titres de champion d’Espagne (1950 et 1951) en marquant 56 buts et retrouve Helenio Herrera comme entraineur.
Marseille
En 1953, l’Olympique de Marseille est en mauvaise position dans le championnat et se souvient d’un de ses anciennes idoles et rachète son contrat. « Ce fut le plus beau jour de ma vie. (9) » avoue Larbi Ben Barek qui va permettre à l’OM d’aller jusqu’en finale d’une Coupe de France perdu sur un but litigieux le 24 mai 1954 (2-1) contre le Nice d’Abderrahman Belmahjoub, autre ténor du football marocain.
Programmée au profit des sinistrés du terrible tremblement de terre qui a ravagé la région d’Orléansville en Algérie en septembre 1954, la rencontre qui se déroule au Parc des Princes le 7 octobre entre l’Equipe de France et une sélection d’Afrique du Nord conduite par Ben Barek comme capitaine permettra à ce dernier d’effectuer un dernier retour chez les Bleus. Sous la pression de tout le public français, les entraîneurs de l’Equipe de France offrent à la « Perle Noire » la possibilité de retrouver les Bleus pour le match du 16 octobre 1954 contre l’Allemagne, toute récente championne du monde en guise d’inauguration du stade flambant neuf de Hanovre. Larbi fait marquer un but à Raymond Kopa et la France l’emporte 3 à 1. Si Larbi quitte le match au bout de vingt-sept minutes pour cause de blessure, son remplaçant, Jacques Foix, marquera les deux buts décisifs.
Casablanca
A 41 ans, il décide d’arrêter sa carrière européenne afin de devenir entraîneur.
Il entraîne l’équipe algérienne de Bel Abbes durant une saison et le club se classe 2e du championnat et accède à la Finale de la Coupe de L’Afrique du Nord. Mais, cette finale n’a jamais eu lieu en raison du début du conflit algérien.
En 1956, il revient au Maroc où il entraîne plusieurs clubs. Le premier est le FUS de Rabat qui remporte une fois la Coupe, puis successivement l’Etoile de Casa, le RAJA de Casa, puis le P.S. Settat et la Renaissance de Tanger.
Larbi déplore alors qu’ « on croit souvent qu’il suffit qu’un entraineur porte un grand nom pour faire gagner une équipe, ce fut plus difficile car on attendait des miracles de moi.»
En 1971, il quitte le milieu non sans se sentir délaissé pat un monde qu’il contribua à enchanter de longues années durant. En 1988, quand le Maroc accueille la Coupe d’Afrique des nations, les organisations manquent de l’y associer tout comme en 1988 et 1992 à la campagne marocaine pour l’organisation de la Coupe du monde.
L’homme
Larbi Ben Barek est un des premiers joueurs à symboliser une France du football plurielle qui s’étend bien au-delà de l’Hexagone. Depuis ses exploits, les relations entre le football africain et le football français n’ont cessé de se renforcer. Son passage sur le sol français va montrer la voie aux générations de footballeurs africains, comme celle conduites par Salif Keita Domingo (10), Jean Tigana (11), Marcel Desailly et Zinedine Zidane (12).
Grand absent des Coupes du Monde, d’aucuns disent qu’il est « né trop tôt (13) ».
En effet, son parcours personnel veut qu’en 1938, Larbi n’a pas encore intégré de circuit professionnel métropolitain et en 1954, Larbi, à plus de 40 ans, est blessé.
Entretemps, la Guerre et la non-qualification de la France en 1950 ne permettront pas à ce joueur d’exception de participer à la grande saga des Coupes du Monde.
Larbi Ben Barek détient cependant le record de longévité de sélections en Equipe de France : 17 sélections en plus de 15 ans : première sélection le 4 décembre 1938 devant l’Italie et dernière, le 16 octobre face à l’Allemagne.
Les dernières apparitions de Larbi Ben Barek se font notamment los des premières Retrouvailles de Nice des Anciens Sportifs du Maroc en 1986 (14), avec Juste Fontaine (15).
Au mois de janvier 1989, une exposition de photo, organisé à la Maison du Maroc à Paris, ayant pour objet un demi-siècle d’amitié franco-marocaine footballistique compte parmi ses invités Larbi Ben Barek qui assiste aussi à l’émission Champs-Elysées pendant laquelle Michel Drucker lui rend hommage en présence de Juste Fontaine et de l’Equipe de France, en février 1989.
Après la mort de Larbi Ben Barek, les joueurs de l’Atletico ont porté le brassard noir lors d’un match contre le FC Barcelone, prouvant ainsi l’attachement des dirigeants du club envers leur ancien joueur.
Le 8 juin 1998 à Paris, la FIFA lui décerna, à titre posthume, la médaille de l’ordre du mérite.
De son vivant, Larbi Ben Barek fut un exemple. D’aucuns déplorent qu’on n’ait pas davantage utilisé son image au Maroc pour faire vivre sa mémoire pour les générations futures (16).
La vie de Ben Barek, depuis sa jeunesse dans la pauvreté, jusqu’à sa mort dans l’indifférence et l’oubli en 1992, fut un voyage entre malheur et bonheur.
Le bonheur, il l’a surtout trouvé dans la communion avec le public. Celui de Casablanca, de Marseille, de Paris et de Madrid. Il émerveilla des millions de gens dans les stades du monde. Il était naturellement spectaculaire et il aimait partager ce spectacle avec le public qui se déplaçait rien que pour le voir jouer. Selon ses contemporains, c’était un gentleman, un artiste, exceptionnel de classe et de gentillesse.
La France, l’Espagne et l’histoire du football le considèrent comme l’un des plus grands acteurs du beau football classique, et ce, malgré sa carrière tronquée par la deuxième Guerre Mondiale. Larbi Ben Barek jouait sans télé, mais grâce à la puissance médiatique et le lyrisme des journalistes de l’époque, son nom atteindra une célébrité universelle.
Chroniqueur sportif au Miroir des Champions en 1947, source www.maroc-hebdo.press.ma, n° 282, juillet 1997, Les héros ne meurent pas par Lahlou Outtassi Haj Abdelmalek
Journaliste parisien en 1948, source : Larbi Ben Barek, Le Légende de la Perle Noire, par Jacques Chauvet pour Salam-Sport, Toulon, Les Presses du Midi, 1994
Jacques de Ryswick, Larbi Ben Barek, Paris, Berger-Levrault, 1955, source : voir note 2
Jacques Chauvenet pour Salam-Sports, Larbi Ben Barek, La légende de la Perle Noire, Toulon, Presses du Midi, 1994, page 4
Joueur de l'OM et entraîneur qui réalisa le doublé Coupe & Championnat en 1972
Entre 35 000 francs (voir note 3) et 44 000 francs (voir note 7)
source Lion d'Or: Larbi Ben Barek | Bladi.info Les Marocains d'ailleurs : Lion d'or : Larbi Ben Barek, par Amrouch
17 millions de francs selon Lion d'Or: Larbi Ben Barek | Bladi.info (voir note 7) ou 6 millions selon Jacques de Ryswick (voir note 3)
Voir note 3
Joueur à l'AS Saint-Etienne avec 125 buts en 149 matchs (saison 62-7)
Champion d'Europe des Nations, 1984
Champions du Monde, 1998, Champions d'Europe des Nations, 2000
Voir note 7
Organisés entre autres par Jacques Chauvenet, à l'origine aussi de La légende de la Perle Noire (voir note 4)
Meilleur buteur de tous les temps en Coupe du Monde de 1958 (13 buts), né en 1933 à Marrakech dans le Protectorat français du Maroc.
Voir note 7
*Etat des sources 2021 en langue française :
Quiconque s'intéresse à Larbi Ben Barek en 2021 saura trouver beaucoup plus de témoignages qu'en 2005, notamment par l'intégration de matériel visuel, sur la vie du joueur en particulier et l'histoire du football en général. Voici un petit survol rapide :
non daté :
Om forever, La Grande histoire de l'OM, Larbi Ben Barek, la perle noir, par Faouzi Mahjoub http://www.om4ever.com/ListeJoueurs/TopBenBarek.htm
2008 :
Larbi Ben Barek, Marcel Cerdan et Alfred Nakache : icônes de l'utopie impériale dans la presse métropolitaine (1936 - 1944) ?, Stanislas Frenkiel, dans STAPS 2008/2 (n° 80), pages 99 à 113
Sports & diversités, achac.com https://www.achac.com/sports-et-diversites/larbi-ben-barek/
2017 :
So Foot, Larbi Ben Barek, la perle noire https://www.sofoot.com/larbi-ben-barek-la-perle-noire-444384.html
2018 :
Libé, Retronews, 1938 : Larbi Ben Barek, naissance d'une star de foot https://www.liberation.fr/sports/2018/09/15/1938-larbi-ben-barek-naissance-d-une-star-du-foot_1678685/
2019 :
Exposition Foot et monde arabe à l'Institut du Monde arabe, Paris https://www.imarabe.org/fr/expositions/foot-et-monde-arabe
2020 :
Olympique de Marseille, Le Club, Il y a 103 ans naissait Larbi Ben Barek
2021 :
Francef Football, Larbi Ben Barek, la mémoire retrouvée https://www.francefootball.fr/news/Larbi-ben-barek-la-memoire-retrouvee/1254458
you tube 02.05.2021, Double Break, Larbi Ben Barek : l'oublié du foot français - Démarquage #6 https://www.youtube.com/watch?v=agRFf1SbZGM
you tube 25.09.2021, un MAX de FOOT, Larbi Ben Barek : la première perle des Bleus https://www.youtube.com/watch?v=yDgBvvC2vuQ
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